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Headgear | 82 | |
| ||
Font | 80.8 | |
| ||
Collar | 78.2 | |
| ||
Suit | 73.3 | |
| ||
Vintage clothing | 71.1 | |
| ||
Paper | 70.7 | |
| ||
Paper product | 67.8 | |
| ||
History | 67.2 | |
| ||
Art | 66.1 | |
| ||
Visual arts | 63.6 | |
| ||
Facial hair | 56.7 | |
| ||
Retro style | 53.9 | |
| ||
Beard | 53.8 | |
| ||
Rectangle | 51 | |
| ||
Portrait | 50.4 | |
|
Color Analysis
Face analysis
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Microsoft
AWS Rekognition
Age | 48-56 |
Gender | Male, 97.9% |
Calm | 98.6% |
Angry | 0.4% |
Confused | 0.3% |
Sad | 0.3% |
Fear | 0.1% |
Surprised | 0.1% |
Disgusted | 0.1% |
Happy | 0.1% |
Microsoft Cognitive Services
Age | 58 |
Gender | Male |
Google Vision
Surprise | Very unlikely |
Anger | Very unlikely |
Sorrow | Very unlikely |
Joy | Very unlikely |
Headwear | Very unlikely |
Blurred | Very unlikely |
Feature analysis
Amazon
Person | 99% | |
|
Text analysis
Amazon
suite
plus
qui
idées
pour
française
rendre
sentit
mieux
demi,
CHATROUSSE
lourde
des
bijoux.
dut,
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quoi
jour,
il
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Rude,
refoulait
en
romaines,
que
le
grands
sculpture
jour
bornent
artistes,
la
les
chez
possible,
En
tout
poésie
En grandissant, il se sentit de plus en plus entrainé vers les
restant
ans et demi,
dès
traditions
ans
apprentissage
pensent
un
affirme,
regret
A sculpture française affirme, de jour en jour,
ne refoulait qu'à regret pour gagner de quoi rendre moins lourde
ne
entrer
justement
qu'il
romaines, de grands artistes, à la suite de
onze
maternelle.
vers
grandissant,
A
déjà
et
se
nourrissait
bijoux. L 'enfant nourrissait déjà des idées de poésie et d'art qu'il
la tâche maternelle.
entrainé
'enfant
gagner
sa personnalité. A côté des maitres qui se
personnalité.
côté
entrer en apprentissage chez un graveur-ciseleur en
Rude, pensent justement que l'Art. tout en
qu'à
tâche
bornent ن perpétuer les traditions
ن
et jour pour l'élever le mieux possible, il dut, dès l'lge de onze
à
maitres
l'élever
sa
L
restant I'Idéal,
graveur-ciseleur
perpétuer
Greco-
et jour
l'Art.
I'Idéal,
l'lge
CHATROUSSE
A sculpture française affirme, de jour en jour, | et jour pour l'élever le mieux possible, il dut, dès l'âge de onze
sa personnalité. A cóté des maitres qui se ans et demi, entrer en apprentissage chez un graveur-ciseleur en
bornent à perpétuer les traditions Gréco- bijoux. L'enfant nourrissait dėjà des idées de poésie et d'art qu'il
ne refoulait qu'à regret pour gagner de quoi rendre moins lourde
romaines, de grands artistes, à la suite de
Rude, pensent justement 'que l'Art, tout en
restant l'Idéal, doit varier selon les milieux
la tâche maternelle.
En grandissant, il se sentit de plus en plus entrainé vers les
qu'il habite, reproduire les types, refléter les idées du peuple qu'il | Lettres et les Beaux-Arts; aussi négligea-t-il peu à peu son métier
afin de s'instruire lui-
mėme. Mais de quel
côté devait-il diriger
traduit et s'inspirer
des moeurs et cou-
tumes du siècle dans
son esprit ? Etait-ce
dans la poésie, la pein-
ture ou la sculpture
qu'il devait trouver à
la fois la satisfaction
de ses penchants ar-
tistiques et la possibi-
lité de subvenir aux
nécessités de l'exis-
tence ? Absolument
isolé, il n'avait à
compter que sur lui-
même. La littérature,
pour laquelle il avait
une prédilection mar-
quéelui paraissaitina-
bordable; car com-
ment en vivre ! II
n'en ébaucha pas
moins quelques lam-
beaux de drames et
de romans. Ses pre-
miers travaux dans la
lequel il prend nais-
sance.
En effet,-comme
l'écrivait si bien Cha-
trousse dans le jour-
nal l'Artiste, en ren-
dant compte des tra-
vaux de la statuaire à
l'exposition univer-
selle de Londres, en
1862:
« Ce serzit nier
» l'histoire, le pro-
» grès, l'âme hu-
D maine et les des-
» tinées providen-
» tielles du monde,
» que de croire que
» l'idéal d'un peuple
» peut, à tant de siè-
» cles de distance,
» devenir çelui d'un
» autre peuple si di-
» versement doué,
» alors surtout que
gravure et la ciselure
le conduisaient au
contraire vers la scul-
» le monde a été re-
» nouvelé par tant et
» de si profondes ré-
» volutions. »
pture. Aussi, après
quelques années de
tåtonnement, d'illu-
sions et de décep-
tions, prit-il un jour
une résolution défi-
nitive et s'écria-t-il à
l'instar du Corrège :
« Anch io son sculp-
L'artiste qui pro-
fesse de telles idées
et sait les exprimer
si nettement, fait évi-
demment partie de ce
groupe de chercheurs
infatigables qui, sans
nierlepassé,n'en veu-
lent retenir qu'une
seule chose : l'Art de
formuler la beauté, et reportent toutes leurs inspirations et leur pendant plusieurs années ? cela est tout un problème. Je me rap-
science vers un idéal nouveau qui soit bien l'expression du génie pelle ce qu'il me conta jadis à cet égard et ce souvenir me rend
tore, »
CHATROUSSE
Il abandonna donc
sa profession et par
conséquent son gain.
Comment vécut-il
national.
encore le ceur tout ému.
Chatrousse (Emile) est né à Paris, en 1827. Son entrée dans la
vie fut loin d'être heureuse, si le bonheur consiste dans le bien-être réver sous les ombrages du Jardin des Plantes. Il y vit des artistes
matériel. Resté seul avec une mère qui l'adorait et travaillait nuit peignant ou modelant des animaux, et cela le tenta. Ces artistes
Habitant alors l'ile Saint-Louis, il allait, aux heures matinales,
GALERIE CONTEMPORAINE, 126, boulevard de Magenta, Paris.
Clicié NADAR, 51, re d'Anjoe-Saiat-llensié.
CHATROUSSE
A
sculpture
française
affirme,
de
jour
en
jour,
|
et
pour
l'élever
le
mieux
possible,
il
dut,
dès
l'âge
onze
sa
personnalité.
cóté
des
maitres
qui
se
ans
demi,
entrer
apprentissage
chez
un
graveur-ciseleur
bornent
à
perpétuer
les
traditions
Gréco-
bijoux.
L'enfant
nourrissait
dėjà
idées
poésie
d'art
qu'il
ne
refoulait
qu'à
regret
gagner
quoi
rendre
moins
lourde
romaines,
grands
artistes,
la
suite
Rude,
pensent
justement
'que
l'Art,
tout
restant
l'Idéal,
doit
varier
selon
milieux
tâche
maternelle.
En
grandissant,
sentit
plus
entrainé
vers
habite,
reproduire
types,
refléter
du
peuple
Lettres
Beaux-Arts;
aussi
négligea-t-il
peu
son
métier
afin
s'instruire
lui-
mėme.
Mais
quel
côté
devait-il
diriger
traduit
s'inspirer
moeurs
cou-
tumes
siècle
dans
esprit
?
Etait-ce
poésie,
pein-
ture
ou
devait
trouver
fois
satisfaction
ses
penchants
ar-
tistiques
possibi-
lité
subvenir
aux
nécessités
l'exis-
tence
Absolument
isolé,
n'avait
compter
que
sur
même.
La
littérature,
laquelle
avait
une
prédilection
mar-
quéelui
paraissaitina-
bordable;
car
com-
ment
vivre
!
II
n'en
ébaucha
pas
quelques
lam-
beaux
drames
romans.
Ses
pre-
miers
travaux
lequel
prend
nais-
sance.
effet,-comme
l'écrivait
si
bien
Cha-
trousse
jour-
nal
l'Artiste,
ren-
dant
compte
tra-
vaux
statuaire
l'exposition
univer-
selle
Londres,
1862:
«
Ce
serzit
nier
»
l'histoire,
pro-
grès,
l'âme
hu-
D
maine
des-
tinées
providen-
tielles
monde,
croire
l'idéal
d'un
peut,
tant
siè-
cles
distance,
devenir
çelui
autre
di-
versement
doué,
alors
surtout
gravure
ciselure
conduisaient
au
contraire
scul-
monde
a
été
re-
nouvelé
par
profondes
ré-
volutions.
pture.
Aussi,
après
années
tåtonnement,
d'illu-
sions
décep-
tions,
prit-il
résolution
défi-
nitive
s'écria-t-il
l'instar
Corrège
:
Anch
io
sculp-
L'artiste
fesse
telles
sait
exprimer
nettement,
fait
évi-
demment
partie
ce
groupe
chercheurs
infatigables
qui,
sans
nierlepassé,n'en
veu-
lent
retenir
qu'une
seule
chose
l'Art
formuler
beauté,
reportent
toutes
leurs
inspirations
leur
pendant
plusieurs
cela
est
problème.
Je
me
rap-
science
idéal
nouveau
soit
l'expression
génie
pelle
conta
jadis
cet
égard
souvenir
rend
tore,
Il
abandonna
donc
profession
conséquent
gain.
Comment
vécut-il
national.
encore
ceur
ému.
Chatrousse
(Emile)
né
Paris,
1827.
Son
entrée
vie
fut
loin
d'être
heureuse,
bonheur
consiste
bien-être
réver
sous
ombrages
Jardin
Plantes.
y
vit
artistes
matériel.
Resté
seul
avec
mère
l'adorait
travaillait
nuit
peignant
modelant
animaux,
tenta.
Ces
Habitant
l'ile
Saint-Louis,
allait,
heures
matinales,
GALERIE
CONTEMPORAINE,
126,
boulevard
Magenta,
Paris.
Clicié
NADAR,
51,
re
d'Anjoe-Saiat-llensié.