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Ade Vresse,r Avel.
Leth Waller r laradis 0
-Voila tes étrennes; sers t'en et ne les casse pas
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seoir!.., C'est heureux. Tout bien vd, bien entendu, le tri-
bunal condamne l'accusé Bourbeau à la peine de...-Al-
lons, voilà que ça me gagne.-Le eondamne, disons-nous,
à rotouzner à Poitiers pour y exercer ses criminélles fa-
eultés sur un moins grand theatre que Paris. Compense les
dépens entre Bourbeau et Lachaud.
i LACHACD (perdant tout à fait la (Me).-Eh bien, oui.
favou.., Je représenté à fnoi sedl les trols complices de
Troppmann f..
E VOTOU. Justice est faite! Vive Blanehe d'Antigny
M. BOURBEAU,Mensonge! j'ai tout nié.
LE PRISIDENT.Cest ce que je voulais dire... Ayant
été complets, dis-je, la cour dispense le proeurear impé-
rial de son réquisitoire. Maintenant attendu qu'il est par-
faitement démontré que le sieur Bourbeau a fait pendant
Texercice de son pouroir un abus constant de son prestige
fascinateur, la cour le condamne...
LACHAUD,Comment! sans entendre la défense?
LE PRISIDENT.-Est-ce bien nécessaire?
N LACHAUD.-Monstrueux f
LE PRISIDENT.Enfin, puisque vous y tenez, parlez;
mais soyez bref.
LACHAUD. Nobles magistrats, depais la proscription
d'Aristide...
BOURHEAU. Je n'avoue rien du tout; au contraire.
PRESIDENT.-On sait ce que parler veut dire.
LACHAUD. Depuis Jeffries et Laubardemont on a ra-
ent vu diriger dos débats d'une façon aussi abominable
E PRESIDENT. Vous plaiderez plus tard, M° Lachaud.
LACHACD.Jo ne plaide pas, monsieur le président,
rective!
PRESIDENT.-Ca revient au même. Achevez vos ré-
tions, accusé.
NL BOURDEEAU.-C'est à la haine du Richelieu moderne
2 e dois la honte d'avoir rovétu la livréo du crime!
PRESIDENT.Mais votre habit noir et votre jsbot de
lelle n'ont rien de commun que je sache avec le cos-
e des prisons.
LOUIS LEROY
Vous connáissez In redito des étrennes utiles... Celté an
min allo ect dovonnn nno váritá nonr nn da nos hommes
fh s
fer, togg MuSEuM IO, 2#0
