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Clarifai
created on 2019-11-07
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98.9 | ||
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illustration | 98 | |
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portrait | 97.6 | |
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group | 96.2 | |
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engraving | 93.2 | |
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lithograph | 93 | |
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painting | 88.3 | |
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vintage | 83.3 | |
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Imagga
created on 2019-11-07
Google
created on 2019-11-07
Text | 90.8 | |
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Paper | 80.4 | |
| ||
Illustration | 74.9 | |
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Paper product | 73.8 | |
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Newsprint | 69.4 | |
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Vintage advertisement | 63.4 | |
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Art | 58.1 | |
|
Color Analysis
Face analysis
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AWS Rekognition
Age | 52-70 |
Gender | Male, 50.8% |
Fear | 52.8% |
Happy | 45.1% |
Disgusted | 45.1% |
Surprised | 46.6% |
Calm | 45.3% |
Confused | 45% |
Sad | 45% |
Angry | 45.1% |
AWS Rekognition
Age | 6-16 |
Gender | Male, 53.4% |
Disgusted | 45% |
Surprised | 46% |
Confused | 45% |
Angry | 45.1% |
Sad | 45% |
Fear | 45% |
Happy | 45.1% |
Calm | 53.6% |
AWS Rekognition
Age | 11-21 |
Gender | Female, 51.7% |
Happy | 45% |
Disgusted | 45% |
Angry | 45% |
Sad | 45% |
Fear | 45% |
Calm | 54.9% |
Surprised | 45% |
Confused | 45% |
Feature analysis
Amazon
Person | 97.6% | |
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Text analysis
Amazon
DINEH
SUITES
DAUMIER
PARISTENS
LES
manper
dit
CHOOIS PARISTENS par DAUMIER
acrepler
pas
CHOOIS
par
invilalion
ie
avais
LES SUITES D'UN DINEH HIPPOPIINGTOE
3430
avais bien dit de ne pas acrepler invilalion d aller manper dui cheval
d
de ne
pont-neaf
ehaleur
de
cheval
allais
e
HIPPOPIINGTOE
aller
part
aviez
allais le Deethoren.
trop
fait
a
Deethoren.
bien
eriait-on de
D'UN
le
ehaleur fait ie satg enfrer lourna a pont-neaf
je
maistenamt?
dui
elforts
premiere
41
Asis eriait-on de
S.B
satg
enfrer
de e ca. maistenamt? softie pou I premiere
Asis
lourna
e ca.
softie
pou I
CROQUIS PARISIENS par DAUMIER
Martnet 173 r Re 41 ane
LES SUITES D IN DINER HIPPOPIIAGIQUE
Jet avais bien dit de ne pas accepter linviation d aller manger du cheval.
430
-Lisez le prozramme, lisez le programme!
Comment, que je lise le programme ?
-Yous y verrez qu'on est prie de ne pas eatrer pendant
l'exécution des morceaux
-Mais il n'est pas defenda de sortir, dit Etienne que
ertte altercation amusait, or tout ee qui n'est pas defetda
est permis.
Cest une profanation ! assis, assis! criait-on de toute
part; mais le motsieur persistait
Entin la partie la moins féroce des abonnés se laissa tou-
eher, et le speelateur qui Ireait tant à s'en aller put le
taire non sans use satisfaction très-visible.
On eomprend trop Beethoven
Tant mieux.
Mais jallais beaucoup mieas; e'est I'abominable
ehaleur qui regne ici qui me fait monter le sang à la
gorge
Es-tu sår de ne plus tousser maistenant?
-J he prut pas te promettre ca
Alons, va-t'en, vafen
thi ie ne demande pas mieux.
Etienne se leva et se disposa à fuir, lorsqoe Tintrodoc-
tion des saisos de Haydn fit entendre ses premières nodes
Bargeau tira immétiatentent le fuyard par les pans de sa
redingote et le força à se rasseoir.
Voila que tu ine retirss maintenant?
-Piaisantes-tu? Est-ce que l'on sort pendant l'exécu-
tion d'on morceau. Tu n'arriverais pas entier à la porte.
-Les locataires de la maison de Boethoven sont ra-
geurs
lls serairet dans fear droit.
-Cest singulier comme ia musique adoocit les mours.
ien qu avant en lira à voix basse, ce dialogue attira
l'attention d'un gros dilettante qui 1cha un chut! à toute
таренг.
Aumoment le plus intéressant de la symphonie, un cer-
tain mouvement eut lieu à l'entrée du couloir, au grand
scandale des habitoes.
aest-ce que cela? dit Etienne en proitant de la
prioccupation geoirale poor tousser à son aise
Je vois un monsieur debout
-Assis! assis vociferait le gros diletlante.
Le monsicur, tris påle. tres emu, it entendre quelques
mots pour demander ia permission de sortir.
Nont non!
Mais cepetdant, messieurs, je vous supplie de me
laisser pasuer
-Je vous reconnais, cria le paissant dilettante, vous
8tes coutumier du fait; c'est la seconde fois que vous in
Berrompez le concert dennis se eommeneement de la ialson
Je vous demande eo grace de me laisser passer
Panlon; sa musitee tourne au pont-neaf
-Ah! quel piradose
-Quatid on nous l'a servi pour la première fois, si voas
aviez vu notre air effane, nos efforts pour comprendre,
crla vous aurait vivement interessee; tandis qae mainte
nant on entre dans ses combinaisons harmoniques aussi
facilement que dans celles de Fautear des Drur Acregles
On le comprend trop, comtesse, oa le comprend trop.
Deux daines tres eegantes
-Jai cru que ce concert ne finirait pas
-Ab! que dites-vous la,
-
e lanca bots de sa
Yous vous des amusée, vous
-Ce n'est pas précisément le mot.
-La mode de venir iei ne changera done jamais.
mansarde avee un plaisir sans melange.
-Comme le temps a passé vite ! dit Bargeau
Je ne trouve pas, repondit Etienne: il me semble que
ie viens de monter une garde.
Tu ne veax pas en coavenir, mais ta t'es extrémement
amusé
-Si to y tiens, j'en conviendrai
Parblru! et si tu reviens encore deux fois to ne pour-
ras plus manquer un seul concert. Cest si agréable, nous
noas connaissons tous.
-Mais tu n'as parlé à personne dans notre mansande
Cest à cause de tot
-Bah
-Oui, ta tous indisposait trop mes volsins et l'on de-
vait m'en vouloir de l'avoir amene, No nous en allons pas,
restons pour voir ia sortie et écouter les conversations.
Un irux baron donnant le beas à une jeune comtesse
-Ah1 comtesse, ces conoerts sont bien degénéres
Mais je ne troove pas, moi,
-Jen ai pear.
1 faut se nesigner. A dimanche, chère madame.
La femme d'un hanguier à son marit
-Vous avez boile d'ane fagoa des plas compromet-
tantes
.
Vous eroyez qu'on m'a vu
-Jn suis sure
daeDimanche prochain, à déjeuner, je prendra
cafe plus fort
Ftienne souriten entendant ces menus propos. Tu vois,
dit-il à Bargeau, je ne suis pas in sul qoi soit reste frod
Tous ces grts-li me fout Feliet d'avoir pris du plaisir à pe-
tite dose.
Birbare, vaI tu mériterais d'Vtre déporté à l'Alcazar
pour la vie.
Voyons, ne te lche pas : je tassure que le concert
nous a charmes egalemest; nous ne différoas que sur le
moaent: moi jai eté eathousiasmé en sortant.
-Cet orchestre est toujours un des premiers du monde. i
-Autrefois nous disions le premier! Et pais aujour
dhui il ya qurique chose qui me taine.
Quoi donct
LOEIS LEBOY
CROQUIS
PARISIENS
par
DAUMIER
Martnet
173
r
Re
41
ane
LES
SUITES
D
IN
DINER
HIPPOPIIAGIQUE
Jet
avais
bien
dit
de
ne
pas
accepter
linviation
d
aller
manger
du
cheval.
430
-Lisez
le
prozramme,
lisez
programme!
Comment,
que
je
lise
programme
?
-Yous
y
verrez
qu'on
est
prie
eatrer
pendant
l'exécution
des
morceaux
-Mais
il
n'est
defenda
sortir,
Etienne
ertte
altercation
amusait,
or
tout
ee
qui
defetda
permis.
Cest
une
profanation
!
assis,
assis!
criait-on
toute
part;
mais
motsieur
persistait
Entin
la
partie
moins
féroce
abonnés
se
laissa
tou-
eher,
et
speelateur
Ireait
tant
à
s'en
put
taire
non
sans
use
satisfaction
très-visible.
On
eomprend
trop
Beethoven
Tant
mieux.
Mais
jallais
beaucoup
mieas;
e'est
I'abominable
ehaleur
regne
ici
me
fait
monter
sang
gorge
Es-tu
sår
plus
tousser
maistenant?
-J
he
prut
te
promettre
ca
Alons,
va-t'en,
vafen
thi
ie
demande
leva
disposa
fuir,
lorsqoe
Tintrodoc-
tion
saisos
Haydn
fit
entendre
ses
premières
nodes
Bargeau
tira
immétiatentent
fuyard
les
pans
sa
redingote
força
rasseoir.
Voila
tu
ine
retirss
maintenant?
-Piaisantes-tu?
Est-ce
l'on
sort
l'exécu-
d'on
morceau.
Tu
n'arriverais
entier
porte.
-Les
locataires
maison
Boethoven
sont
ra-
geurs
lls
serairet
dans
fear
droit.
-Cest
singulier
comme
ia
musique
adoocit
mours.
ien
qu
avant
en
lira
voix
basse,
ce
dialogue
attira
l'attention
d'un
gros
dilettante
1cha
un
chut!
таренг.
Aumoment
intéressant
symphonie,
cer-
tain
mouvement
eut
lieu
l'entrée
couloir,
au
grand
scandale
habitoes.
aest-ce
cela?
proitant
prioccupation
geoirale
poor
son
aise
Je
vois
monsieur
debout
-Assis!
assis
vociferait
diletlante.
Le
monsicur,
tris
påle.
tres
emu,
it
quelques
mots
pour
demander
permission
sortir.
Nont
non!
cepetdant,
messieurs,
vous
supplie
laisser
pasuer
-Je
reconnais,
cria
paissant
dilettante,
8tes
coutumier
fait;
c'est
seconde
fois
in
Berrompez
concert
dennis
eommeneement
ialson
eo
grace
passer
Panlon;
musitee
tourne
pont-neaf
-Ah!
quel
piradose
-Quatid
on
nous
l'a
servi
première
fois,
si
voas
aviez
vu
notre
air
effane,
nos
efforts
comprendre,
crla
aurait
vivement
interessee;
tandis
qae
mainte
nant
entre
combinaisons
harmoniques
aussi
facilement
celles
Fautear
Drur
Acregles
comprend
trop,
comtesse,
oa
trop.
Deux
daines
eegantes
-Jai
cru
finirait
-Ab!
dites-vous
la,
-
e
lanca
bots
Yous
amusée,
-Ce
précisément
mot.
-La
mode
venir
iei
changera
done
jamais.
mansarde
avee
plaisir
melange.
-Comme
temps
a
passé
vite
trouve
pas,
repondit
Etienne:
semble
viens
garde.
veax
coavenir,
ta
t'es
extrémement
amusé
-Si
to
tiens,
j'en
conviendrai
Parblru!
reviens
encore
deux
pour-
ras
manquer
seul
concert.
agréable,
noas
connaissons
tous.
n'as
parlé
personne
mansande
cause
tot
-Bah
-Oui,
tous
indisposait
mes
volsins
de-
vait
m'en
vouloir
l'avoir
amene,
No
allons
restons
voir
sortie
écouter
conversations.
Un
irux
baron
donnant
beas
jeune
comtesse
-Ah1
ces
conoerts
degénéres
troove
moi,
-Jen
ai
pear.
1
faut
nesigner.
A
dimanche,
chère
madame.
La
femme
hanguier
marit
-Vous
avez
boile
d'ane
fagoa
plas
compromet-
tantes
.
Vous
eroyez
m'a
-Jn
suis
sure
daeDimanche
prochain,
déjeuner,
prendra
cafe
fort
Ftienne
souriten
entendant
menus
propos.
vois,
dit-il
Bargeau,
sul
qoi
soit
reste
frod
Tous
grts-li
fout
Feliet
d'avoir
pris
pe-
tite
dose.
Birbare,
vaI
mériterais
d'Vtre
déporté
l'Alcazar
vie.
Voyons,
lche
:
tassure
charmes
egalemest;
différoas
sur
moaent:
moi
jai
eté
eathousiasmé
sortant.
-Cet
orchestre
toujours
premiers
monde.
i
-Autrefois
disions
premier!
Et
pais
aujour
dhui
ya
qurique
chose
taine.
Quoi
donct
LOEIS
LEBOY