EN CHEMIN DE FER
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Lath Deatsurke, Pare
Martinet, Pari
lls ont l'air de se concerter.je suis bien faché d'etre monté dans ce wagon!.. .et dire
qu'il n'y a pas moyen de faire arréter le train!
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-Julia, reconduiser monsieur
Pais, en donnant cet ordre, elle passe dans la piéce voi
le jeune homme. Pandon, madame, posrrier-vous me dire
ce que repriseate oetle photographie T
Une propriété que mon mari posside en Touraine,
Nest-elle pas située à colé de celle de M de Ver-
Le lendemain à une heure Julia annoace M. Gaston de
Bocheplate
l demande sa canne qo'il a oubMiée la reille.
Il est une heure et un quart; il s'excuse de sa hardiesse
qui a pu froisser une personne qu'il respecte
Une hrure et demir,-Ou casase musique,
Deur hrures.La comversation roale sur l'Opérs
Treis heures,-Qn s'entretient des femmes qui trompent
lear mari, et on se demande si tous les torts ne sont pas
du eé de I'epoux.-Toujours, répond-on.
Cing Aeures,La camériste planéo en faction accourt
dire que M. de Valoreuse débouche du coin de la ree.
On se s/pare en toute håte en trouvant que le temps a
passe bien vite
sine.
nouil
-En effet, et je connais très bien cette dame.
Je sois un ami istime de la maison, et fai mème
passé plusieurs Jours en Touralne; anssi me semblait-il
reconnaitre la photographie de ce eháleau. Nous ne som-
mes plus maintenant des détrangers Fan pour rantre,
Jaime autant eela, car dans la mission que jaccomplis on
peat souvent étre pris pour un mendiant à domicile
Eles-vous bien sar de ne pas en être un, monsieur
-Pourgooi me demandee-vous eela 7
-Parce quoe mon mari est membre du burean de bien-
faisance, et que e'est lni qui est chargé de récolter les of-
frandes dans ce quartier,
Ahl diable! séerie le jouno homme en se mordant
les levres
Votre ruse n'a pas réussi.
-Eh bien, non, madame, je pe sais pas un membre da
burcau de bisplaisance. Mais je me suis donné comme tel
afin d'avoir un pretexte pour me prisenter chez vous, car
depuls longtemps je désire falre votre connaissance, Mals
je ne suis pas un mendiant à domieile, j'appartiens à one
tris honorable famille, je mr nomme Gaston de la Rocbe-
plate
-Vous Mes alors un mendiant d'amour?
Oul, madame, je..
N de Valerease soene
La femme de chambro arrive.
Ah! madame, dit Julia, comme ce jeune homese a
fait une piteuse mine en deseendant l'escalier
Ah!
Csl un trs beag cavalier
-Il n'est pas mal.
Et il a lair tris comme il faut
M de Valereuse garde le silence pendant quelques in-
stans,
Il s'est préseaté, dit-elle, d'une façon assez originale
qui me plait, et cette petite aventure a chassé ma mauvaise
homeur.
-Madame a été un peu sivdre avec Jui.
Netail-ce pas mon devoir 1 Yous me disiez done qu'il
avait l'air malheareust
-Oui; madame est fachén de l'avoir si mal reçu.
-
Trois jours apris
JULL.-Madame s'ennuietelle encore ?
M DE VALCREUSE.-Non, Julia, Jalia, pas du tout.
VI
Non, certes
Mais il reviendra.
-Pourquoi 7
-J'aperçois sur ce fauteuil sa canne qu'it a laissée
Faut-il la lui porter, je sais oa il demeare?
Non, c'est inutile, sempresse de dire M de Valereuse,
nous n'avons pas besoin de nous déranger pour ce mon-
seur.
M. Gaston sera content de mol, se dit en elle-meme
la camériste, et le louis qu'il m'a donné en sortant no sera
pas perdu, ses alfoires parcheat
tuit jours apris
Mon cher Gaston,
Mon mari est alsent pour une huitaine de jaurs
Venez me chercher demain matin.
Nous irons faire une partie à Fontaineldean
Je vous serre la main.
EEGENIE DE VALCREUSE
CONCLUSION,
Si la femme ne s'ennayait pas, les maris ne seralent ja-
mais trompis
A BENCSD
